Quelques esprits chagrins penseront que j’insiste un peu trop, mais je tiens à ce que mes visiteurs sachent qu’une toute nouvelle rubrique Yi King vient d’être lancée sur le site Psychologies.com.
Nous n’en sommes qu’au début: comme le dit Laurence Ravier, rédactrice-en-chef de Psychologies.com, on n’en est qu’au premier étage de la fusée. Pendant cette première phase -juste après le décollage- les internautes devront se contenter d’une brève réponse à leurs questions.
Mais cette page est destinée à évoluer: si vous patientez un peu, vous verrez qu’avec le temps les réponses s’étofferont et que la page Yi King de Psychologies prendra de l’ampleur. Une suggestion à ceux que le sujet intéresse : allez sur Psychologies.com et faites votre tirage. Si vous voulez en savoir plus, consultez mon livre Prendre les bonnes décisions avec le Yi King pour «entrer» vraiment dans le sujet. Au fil du temps, vous pourrez surfer du livre à Psychologies.com et vice versa, comparer les réponses et vous livrer à toute sortes de comparaisons et de spéculations.
Découvrir le Yi King, c’est un peu comme partir en voyage: un voyage passionnant qui peut changer -en profondeur- la vie de celui qui l’entreprend: je sais de quoi je parle, car il a changé la mienne. Et c’est pour cette raison que je tiens tant à partager mon expérience et faire connaître ce guide de sagesse à tous ceux que le travail sur soi intéresse.
Mais chi va piano va sano: comme le dit Cyrille Javary -grand maître en Yi King, auteur avec Pierre Faure de Yi Jing-Le livre des changements (et de la préface de mon livre)- le Yi King ne s’ouvre pas d’un coup. Et c’est justement pour cette raison que j’ai écrit une introduction au Yi King, aussi simple que possible tout en restant fidèle à l’esprit du Livre. Une fois familiarisés avec l'univers du Yi King, de nombreux lecteurs de mon livre ont ensuite «émigré» vers celui -beaucoup plus érudit- de C. Javary et P. Faure, ou vers d’autres grands classiques du Yi King, nettement plus complexes. Et c’est exactement ce que je souhaitais.
Commentaires