Si une pauvre cycliste (passionnée mais nulle en ce qui concerne les réparations) a le malheur de crever dans Nice et doit donc s’adresser à un professionnel pour faire changer sa chambre à air, il lui en coûtera, selon le quartier où elle se trouve, de 10 € (rue Arson) à 13,20 € (rue Vernier : notez la finesse du « 20 », probablement ajouté pour faire joli).
De l’autre côté de la frontière, à Bordighera, dans un magasin de cycles renommé, la même opération (chambre à air neuve et pose) ne coûte que 5€. Cherchez l’erreur…
L’erreur, c’est de crever à Nice : mieux vaut le faire en Italie. Le problème, c’est qu’on ne choisit pas où on va crever. Et la morale de l’histoire, c’est qu’à Nice, les voleurs abondent.
Te revoilà ! Tu nous manquais...
Rédigé par : Axelle | dimanche 22 juin 2008 à 11h48
Magnifique photo !
Le titre de votre note est très un titre assez surprenant et je ne m'attendais pas au récit de vos petites misères pneumatiques...
Bien joué.
Denys
Rédigé par : Denys Le Tyran | dimanche 22 juin 2008 à 14h32