« Le présent, d’ordinaire, nous blesse. Nous le cachons à notre vue, parce qu’il nous afflige… Nous tâchons de le soutenir par l’avenir, et pensons à disposer les choses qui ne sont pas en notre puissance, pour un temps où nous n’avons aucune assurance d’arriver. Nous courons sans souci dans le précipice, après que nous avons mis quelque chose devant nous pour nous empêcher de le voir » Pascal
Commentaires